CORONAVIRUS – Les restaurants ouverts du printemps à l’automne peinent à compenser les pertes dues aux mesures de protection. « Le Clair de lune », dans les Mayens de Conthey, en Valais, est géré par Pierre-Marie Evéquoz et sa sœur Marie-Jeanne. Ces derniers n’échappent pas à cette situation, mais se montrent optimistes.
« Le Clair de lune » accueille ses clients de début avril à fin novembre. Cette année, Pierre-Marie et Marie-Jeanne Evéquoz ont dû retarder l’ouverture du restaurant de quelques semaines à cause du semi-confinement. Mais pas question pour eux de rester inactifs. Ils en ont profité pour effectuer des travaux et réfléchir à l’orientation de leur établissement.
D’un point de vue économique, les deux gérants estiment que les mois d’ouverture ne permettront pas de compenser les pertes dues au semi-confinement. Ils espèrent que la période de la chasse les aidera à limiter les dégâts.