Basé à Bellevue depuis 1991, le Bioparc aimerait changer d’air. Le
refuge animalier abrite plus de 250 animaux dont un tiers est menacé à l’état
sauvage. Rencontre avec Mia Corliss, collaboratrice du lieu, qui
rappelle les raisons de l’existence du Bioparc et décrit à quoi le refuge pourrait
ressembler.

Une mission de sensibilisation et de conservation, unique sur le territoire genevois, qui serait bientôt condamnée. Selon les équipes du Bioparc Genève, le lieu actuel destiné aux animaux atteint ses limites avec une vétusté saillante. Mia Corliss s’occupe quotidiennement des hôtes du refuge et précise: «On n’a pas les plus belles espèces, mais celles aux plus belles histoires».

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Mais à quoi pourrait donc ressembler un Bioparc version 2.0? La soigneuse animalière explique qu’au-delà des espaces plus grands pour les pensionnaires, un déménagement du Bioparc permettrait de développer un meilleur établissement de soin, un centre de recherche spécialisé et des meilleures conditions pour recevoir les visiteurs.

Quels risques derrière un déménagement?

Un changement de biotope n’est jamais sans impact pour un animal, qui plus est lorsqu’il a déjà eu un passé mouvementé. Mia Corliss revient sur les épreuves qu’ont déjà traversées la plupart des animaux du parc et rassure: «S’ils sont arrivés, ils peuvent repartir».

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