RENCONTRE La société peine toujours à parler de la mort et du deuil. Les taxidermistes, appelés aussi naturalistes ou empailleurs y sont pourtant confrontés tous les jours. Raphaël Codourey, l’un d’entre eux, parle de sa relation très particulière avec la mort. 

« J’ai énormément de peine à toucher une personne qui est décédé »

Dans son atelier près de Fribourg, Raphaël Codourey explique à son apprenti comment décortiquer une chouette. Taxidermiste de père en fils, il parle de son rapport direct avec la mort. Il nous partage sa relation avec les odeurs et les bruits particuliers de son quotidien. Il témoigne également ce qu’il a ressenti lorsque son père est décédé.

Site internet Raphaël Codourey

CFJM – Céline Thurre-Millius

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