César Dyrberg, jeune ingénieur du son: « je suis très inquiet pour mon avenir »

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« A bout de souffle » , c’est le titre d’une lettre ouverte signée il y a quelques jours par la majorité des acteurs de la nuit genevoise. Le milieu connaît une situation critique avec la quasi-totalité des activités à l’arrêt. Pas facile donc de trouver un premier emploi dans ce milieu. César Dyrberg en témoigne

La crise sanitaire n’épargne pas le monde de la culture. Un manifeste intitulé « A bout de souffle » a d’ailleurs été signé par plusieurs acteurs majeurs de la culture nocturne genevoise. Une situation compliquée pour les jeunes terminant leur formation et qui doivent trouver un premier emploi. C’est le cas de César Dyrberg, 23 ans, tout jeune ingénieur du son et professeur de musique diplômé et il n’envisage pas son avenir de manière sereine et a dû revoir ses perspectives d’avenir mais reste motivé.

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